Chapitre 5
Chapitre 5
1. Décrivez le milieu familial de Daniel Pennac.
2. Qui est l'oncle Jules?, que faisait-il?
3. Quels projets d'avenir envisageait la famille pour Daniel?
4. D'après son frère Bernard, comment justifie-t-il sa cancrerie?
5. Comment se sent Daniel Pennac? Relevez le champ lexical.
6. Devenu professeur, quel a été son objectif principal?
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerJ'ai bien aimé ce chapitre car l'auteur nous donne beaucoup d'informations sur sa famillie. J'ai particulièrement aimé la manière dont il décrit son oncle Jules Pennacchioni. Quant à l'anecdote de la poubelle de Djibouti, je trouve que c'est une histoire assez amusante. J'ai trouvé intéressant le lien qu'il établit entre la peur de la piqûre et la peur qui l'a tourmenté tout le long de sa scolarité.
RépondreSupprimerDans ce chapitre on peut voir que dans toute sa famille il y a des personnes très cultivées. Et Daniel essaye de justifier sa cancrerie à partir de l'incident de la poubelle de Djibouti. Moi je peux dire qu'au début de l'histoire de la poubelle il m'a fait rire un peu, mais après quand on voit qu'il tombe malade il m'a fait un peu de peine.
RépondreSupprimerLaura Carmona
RépondreSupprimerChapitre 5: Pourquoi dans une famille très intelligente pendant trois générations, à la fin, ont un garçon qui était un cancre? Ne cherche pas une solution ou une réponse car il n'existe pas. Une personne ne devient pas un cancre pour une explication logique ou un fait spécifique. À mon avis, chercher une réponse et non une solution pour aider cette personne est un grand erreur, parce qu'en tandis que nous cherchons une explication logique, cette personne aura plus de complications dans l’avenir, c’est pour ça qu’on doit l’aider à faire comprendre les choses.
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerDans ce chapitre, Daniel réfléchie sur l'origine de sa cancrerie, et il arrive à la conclusion qu'il a été la peur. Ce chapitre m'ai fait réfléchir sur les mauvais étudiants. D'après moi, je pense que vraiment, aucune personne est un crancre, sinon que l'intelligence et la perspicacité se réveille à un moment déterminé en fonction de la personne.
RépondreSupprimerAnette Ramos
RépondreSupprimerJ'ai bien aimer ce chapitre car l'auteur fait une réflection tellement détaillé pour comprendre d'oú vient sa cancrerie. Au début, l'origine de sa cancrerie n'a aucan relation avec sa famille: une famille typique de l'époque. On peut destaquer la façon dans lequel il parle de son uncle Jules Pennacchioni. Néanmoins, ce que je considère le plus drôle du chapitre est la raison qu'il trouve finallement pour justifier sa cancrerie: être tombé dans la poubelle de Djibouti à six ans.
Si on approfondit dans ce chapitre, on peut percevoir que derrière la partie sympathique de l'histoire de Djibouti on trouve que ce que lui porte a faire cette recherche est une grande frustration.
J'ai trouvé cette chapitre très complet, car Daniel nous donne beaucoup d'informations non seulement de sa famille, mais en outre de l'origine de sa cancrerie.
RépondreSupprimerPremièrement, j'ai aimé la fait que en décrivant son entourage familial il montre que pas tous les cancres sont pareils, et que l'apparition de la cancrerie n'est pas nécessairement lié à un mauvais entourage.
Ensuite, je trouve assez ravissante l'anecdote sur l'oncle Jules, et la morale qu'on peut tirer: l'école et les professeurs peuvent aussi sauver des vies.
Finalement, ça ma donne un peu de peine le motif auquel il attribue sa cancrerie, car à son avis, sa incapacité de travailler à l'école a été née quand il est tombé dans une poubelle à Djibouti, et que pour cette raison-là qu'il se sent toujours comme un déchet.
Daniel nous relate une histoire de son passé où il était tombé d'une poubelle de djibouti, à laquelle il rejette la faute de sa cancrerie car il cherche le motif de sa bêtété et n'arrive pas à comprendre pourquoi il est cancre en se comparant à ses frères. Cette partie m'a vraiment touché car c'est ce qui se passe dans presque toute les familles. On est pas toujours douer dans tout ce qu'on fait. Certains sont plus habiles dans les études et d'autres, par contre il sont plus doués dans le domaine practique. Alors, si aujourd'hui tu ne réussis pas à l'école, celà ne veut pas dire que le lendemain, tu ne seras rien, simplement tu dois essayer de te battre, t'éfforcer pour réussir et apprendre de tes erreurs. Alors c'est ce que va faire Daniel. Il est devenu professeur pour aider les gens de son espèce à reprendre confiances en eux, et celà c'est une belle preuve de maturité et de sagesse. Il n'est pas tout-à fait cancre comme il le dit. Il n'était tout simplement pas douer pour les études.
RépondreSupprimerCe commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerJ'ai bien aimé ce chapitre car l'auteur nous donne beaucoup d'informations sur sa famille et sur son oncle Jules Pennacchioni. De plus, Daniel nous montre que l’origine de sa cancrerie a été la peur et il nous raconte aussi une histoire de son passé où il était tombé dans une poubelle de djibouti et je le trouve très amusant.
RépondreSupprimerPrisca Castellà
RépondreSupprimerJ'ai trouvé ce chapitre très amusante parce qu'on reçoit beaucoup d'informacion sur la famille de Daniel. On voit qu'il vient d'une famil le très intelligente et c'est pour cela qu'il essaie tout le temps de trouver une réponse à la question: D'où vient ma cancrerie? L'hypothèse de Bernard sur la Poubelle de Djibouti m'a fait rire au début et je l'ai trouvé créative.
Dans ce chapitre Daniel essayé de donne une explication a son cancre. On voit qu’il se croit un garçon bête qui ne sert à rien, et il ne comprend pas pourquoi il a des problèmes si sa famille est complètement normale et responsable. J’aime la raison qui lui motive pour être professeur, je crois qu'est très jolie de sa part vouloir aider les autres enfants avec le même problème que lui.
RépondreSupprimer