Chapitres 1, 2 et 3

 

Chapitre 1

1. Qui parle?

2. Que se passe-t-il?


Chapitre 2

3. Que cachent les pronoms adverbiaux "en" et "y"?

4. Quels sentiments éprouve l'élève?


Chapitre 3

5. Comment faut-il résoudre les difficultés envers une matière?

6.  Moyennant une analepse, Pennac de quoi se souvient-il?


Commentaires

  1. Laura Carmona

    Chapitre 1: Dans le premier chapitre, Daniel Pennac raconte son histoire à la troisième personne, il raconte sa carrière d'enseignant et d'écrivain, puis il remonte à l'époque où sa mère et son frère se disaient s'il réussirait un jour. de cette situation, d'être un mauvais élève et si un jour il devenait quelqu'un. Bref, il présente son histoire d'où même la famille ne savait pas ce qu'il allait devenir parce que, à ce moment-là, il était un chagrin d'école.

    Chapitre 2: Dans le deuxième chapitre, L'histoire c'est un peu plus fantastique et incroyable de certain qui vient d'être un très mauvais élève, parce que il raconte son évolution comme professeur et comme élève, et sa mère, n'est pas capable de croire en quoi son fil est devenu, en quoi il est capable et toutes les choses qu'il a gagné, de son évolution. La mère toute heureuse de son fil, fait certaines blagues a son fil et lui appuie dans tout ce qu'elle peut.

    Chapitre 3: Dans le troisième chapitre, il parle de ses défauts scolaires, de les comentaires que sa famille lui faisait, de ses pauvres capacités pour apprendre, comprendre et memòriser toutes les choses qui étaient données dans ces cours, jusqu'au jour qu’il a vu son chien, qui était capable d’aller à chercher une couverture pour faire son lit car il voulait aller à dormir. En ce moment, Pennac avait entendu que encore que tu fais beaucoup d' erreurs, avec le temps, toutes les personnes et animaux pourraient faire toutes les choses qu’ils voulaient, avec la raison et l'intérêt pour apprendre.

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  2. Dans le chapitre 1, on se rend compte que le futur effraye Daniel Pennac. Et durant le dialogue qu'il fait avec son professeur, il lance un mot, disant " je ne veux aller nulle part, je n'y arriverai jamais ". Au moment qu son professeur le demande pourquoi est-ce qu'il ce cela, Daniel Pennac commence à se caher derrière les injures " j'ai pas peur, je m'en moque ". Je pense qu'il pene ce qu'il dit mais , il ne veut pas que son professeur commence à le sermoner.

    Dans le chapitre 2, Je pourrais considérer Daniel Pennac comme un super héros car dans son métier de professeur, il explique à ses élèves les pronoms gramaticales comme "en" et "y" peuvent détruire la vie de qulqu'un. Et que certains personnes qui les utilisent se comportent de différentes façon, comme par exemple, certaines peuvent être agressif et d'autres qui se cachent derrière les injures. Ce qui signifie que dans la vie réelle, certains individus qui se comportent ainsi, n'ont pas confiance en eux, ils sont triste. Alors pour se défouler, ils font des connéries et se mettent dans leurs têtes qu'ils s'en foutent, alors que pas.


    Chapitre 3: Daniel Pennac explique à ses élèves comment faire pour vaincre ses peurs pour éviter de tomber dans la solitude comme lui dans l'adolescence. Pour cela, il se base sur les faits qui lui aient passés dans son enfance. Je trouve cela mignon et intéressant, car pour redonner de la confiance à ses élèves, il explique sa cancrerie de l'école et comment il a fait pour évoluer. Je trouve cela chouette, car cela donne la confiance et unir les élèves au professeur.

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  3. Anette Ramos
    Chapitre 1
    L'auteur nous raconte, en troisième personne, une anecdote de ses années de cancre. Comme on peut voit il a une attitude très négative vers son avenir. Alors, après qu'il exprime ses pensés, le prof préfère d'éluder le thème a partir d'une leçon grammaticale au lieu de le sermonner. A mon point de vue, la réponse du prof est très intelligent.

    Chapitre 2
    En ce qui concerne au chapitre 2, on peut voir que Pennac s'a inspiré dans sa propre scolarité pour enseigner à ses élèves une leçon de grammaire et à la fois, une leçon de vie. Comme ça, l'auteur démontre à ses enfants que les pronoms grammaticaux ''y'' et ''en'' son utilisées de différents façons, mais c'est important d'éviter les utiliser comme lui parce qu'à la fin il sait par expérience personnelle quand on les utilise comme lui, on est perdus dans l'incertitude et on ne trouve aucun chemin pour s'en sortir.

    Chapitre 3
    Dans ce chapitre l'auteur nous présente la figure de son directeur dans le pensionnat. Cet homme représente une partie importante dans la métamorphose de Daniel Pennac parce qu'il a enseigné que pour progresser il manque juste volonté. Alors, Pennac nous montre que la façon le plus efficace pour surmonter la peur est s'affronter, sortir de notre zone de confort et dépiquer des heures entières à pratiquer les leçons. Je trouve très intéressant que Pennac utilise sa propre expérience comme cancre pour offrir à ses enfants les meilleures conseilles.

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  4. J'ai adoré le dialogue du premier chapitre entre Pennac et son étudiant. Je pense que c'est une très bonne stratégie d'utiliser les phrases que les élèves disent pour les analyser en faisant pas seulement qu'ils apprennent de la grammaire, mais en outre qu'ils réfléchissent sur ce qu'ils disent et, spécialement, sur tout ce qu'ils craignent.

    Dans le deuxième chapitre on voit que Daniel veut trouver le vrai sens pour les élèves de quelques
    pronoms et mots de la langue ("y", "en", "tout", "ça", "rien"...). On voit comme à partir des phrases dites par les élèves il essaie, avec leur aide, de trouver ce qu'ils sont en train de rapporter. Grâce à cela, on peut voir les peurs et les inquiétudes des élèves. Daniel arrive a la conclusion que le pire qu'ils sentent est que leur avenir est inexistant, et que cela est le motif de leur abstraction du présent. Je trouve assez curieux le fait que Daniel utilise des phrases que nous, les élèves, utilisons quotidiennement, pour expliquer la grammaire.

    Finalement, dans le troisième chapitre, Daniel nous présente une figure très importante pour lui: le directeur de son pensionnat. Il explique que malgré n'avoir aucune obligation il essayait de l'aider et de l'encourager, même si cela ne servait à rien. Néanmoins, Daniel croit que cet homme et leurs conversations d'encouragement l'ont appris que pour évoluer et apprendre il faut faire face à nos peurs et à ce qu'on ne comprend pas

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