Chapitres 13, 14 et 15
Chapitre 13
1. Comment Daniel enfant se sent-il? Quelle idée lui vient à l'esprit?
2. Quelle est la réaction du père?
Chapitre 14
3. Le narrateur, que pense-t-il du pensionnat?
4. D'après vous, pourquoi l'internat est mal vu? Qu'en pensez-vous?
Chapitre 15
5. Les mauvais élèves, comment justifient-ils leur manque de travail?
6. Quelle relation entretiennent-ils
avec l'école et la famille?
J'ai bien aimé le chapitre 13 car l'auteur nous explique qu'il a aussi souffert étant adulte. Je trouve qu'il a de la chance d'avoir un père qui l'aime et qui s'inquiète pour lui.
RépondreSupprimerQuant au chapitre 14, je l'ai trouvé intéressant car l'auteur introduit le thème du pensionnat. Je pense qu'il a raison lorsqu'il dit qu'il est aujourd'hui mal vu d'envoyer un enfant en pension, car pour beaucoup de parents l'internat est inenvisageable. Cependant, il s'agit d'une solution qui peut parfois faire du bien à certains enfants lorsqu'ils traversent des périodes compliquées.
Concernant le chapitre 15, l'auteur parle du thème du mensonge. Je trouve que lorsqu'un élève entre dans le jeu du mensonge, il est assez difficile d'en sortir car c'est un véritable engrenage. Je pense toutefois qu'aujourd'hui les élèves mentent moins aux parents et aux professeurs car il est moins mal vu d'avoir des difficultés à l'école ou de ne pas faire les devoirs.
Dans le chapitre 13, Daniel nous montre la souffrance vécue lors qu'il était un adulte avec une vie stable et pas de préoccupations pour l'avenir. Je crois que c'est bien qu'il explique cela, car jusqu'à ce moment du livre on a vu seulement sa souffrance comme enfant et son succès comme adulte, alors maintenant il a montré une autre facette
RépondreSupprimerJ'ai bien aimé le chapitre 14. Daniel commence à expliquer sa expérience en pensionnat. À son avis, il est parfois une bonne option, même si maintenant pour la plus grande partie des parents est impensable d'envoyer leurs fils dans un lieu pareil. Je trouve que c'est très bien et très interessant que Daniel, au lieu de vanter le pensionnat, décide expliquer la réalité du cancre externe afin de nous faire voir que dans quelques situations spécifiques le pensionnat peut être une option.
Finalement, j'ai adoré de chapitre 15, je trouve que la description de la vie du cancre que Daniel fasse est très soigné et interessante. Après avoir lu ce chapitre, je pense que le problème du cancre ne sont pas les mensonges, mais le fait que les professeurs et les familles le laissent mentir parce que pour eux aussi la mensonge est parfois meilleure que la réalité. Pour cette raison-là, si dés un début on ne laisse pas mentir aux enfants ils n'auront pas le besoin de gaspiller tous ses efforts en essaient de garder ses boniments.
J’ai bien aimé le chapitre 13 parce que Pennac nous explique leur souffrance qu’il a vécu quand il était adulte, et il nous montre aussi qu’il avait un père qui se préoccupe de lui et qu’il aime beaucoup. Et cela est un bon geste de la part du père envers son fils Pennac.
RépondreSupprimerEn ce qui concerne le chapitre 14, Pennac nous explique son expérience qu’il a passée en pensionnat. En plus, il nous montre qu’aujourd’hui le fait d’envoyer un enfant en pension est mal vu et ce n'est pas la bonne option. Alors que peut passer le contraire et c'est la meilleurs option pour les enfants.
Finalement dans le chapitre 15, Pennac nous montre que le fait de mentir est très employé par les cancres pour s'échapper de leurs devoirs et exercices. Donc, ils utilisent le mensonge comme prétexte. Et cela est une mauvaise chose que les enfants utilisent.
Le chapitre 13 m'a fait réfléchir sur le souci de l'avenir, même lorsque l'on a une vie tranquille et apparentement résolu.
RépondreSupprimerQuant au chapitre 14, j'ai vraiment aimé la façon dont Daniel Penac argumente et nous convainc. J'avais une vision négative des pensionnats à cause de la désinformation. Néanmoins, après de lire l'argumentation de Daniel Penac, j'ai changé d'avis.
En ce qui concerne le chapitre 15, il a illustré parfaitement les raisons qui portent aux cancres à faire des mensonges. C'est vrai que c'est une mauvaise habitude, pourtant il ne reste moins vrai que les professeurs n'aident pas à mettre fin à ce comportement.