Chapitres 7, 8 et 9
Chapitre 7
1. Pennac, de quoi se surprend-il lorqu'il est invité dans un collège pour parler de son roman?
2. Quelles sont les réflexions proposées par cette professeure? Êtes-vous d'accord avec cette façon d'agir?
Chapitre 8
3. Pourquoi faire l'appel est si important pour le professeur?
4. "J'ai toujours vu mon ami Pierre comme une réincarnation de l'oncle Jules". Expliquez cette affirmation.
Chapitre 9
5. Quel type de pédagogie critique-t-on?
Laura Carmona
RépondreSupprimerChapitre 7: Daniel, était une personne très sympa et sociable avec tout le gent, sans préjudices, mais, ça ne fait pas qu' à l'heure du cours, la honte et l’envie de fuir s'échappent. Je crois que la honte est un véritable peur qu' a la plupart de la population, la honte, la peur d’être un objectif par la société, la peur d’être incapable de faire quelque chose, et sourtot, la peur d’être un cancre, est très réelle.
Chapitre 8: Ce chapitre pour moi est très intéressant, parce qu’il parle de la solitude d’une personne qui existe seulement dans la recréation. Il raconte qu'il se sentait inférieur aux autres personnes, professeures, amis, adultes, etc. Et ça pour moi c’est à cause de la société, que immédiatement, les personnes qui ne servaient pas pour être un bon étudiant, sont oubliées la plupart du temps. Et ça c’est triste mais c’est la réalité.
Chapitre 9: La solidarité. Bon, c’est un sujet difficile. En définitive la solidarité c’est le fait d’aider quelque personne sans faire un échange d'intérêts, non? Mais non toutes les personnes sont solidaires, au contraire, ils faisaient de l’injustice, certains sont menteurs et aussi certains font des choses pour se sauver à eux mêmes.
Dans l’école la solidarité n’existe que quelques fois.
(C’est nécessaire expliquer que je n’ai pas entendu très bien ce chapitre)
Pardon, ne c'est pas entendu bien, c'est je n'ai pas compris bien, je me suis trompée
RépondreSupprimerChapitre 9: Dans ce chapitre, il y a une critique à l'enseignement des temps arcaïque, c'est-à dire à la mémorisation. Car dans les anciens temps, tout ce que disait les professeurs étaientt vrai, et personne ne devait protester ou s'y opposerpour ne pas mettre en question les connaissances du précepteur.
RépondreSupprimerAnette Ramos
RépondreSupprimerChapitre 7
Dans ce chapitre, Pennac fait visite la classe d'une collègue que lui a invité pour commenter un de les livres de l'auteur. Daniel s'amuse beaucoup avec les questions et les interventions des enfants. Il était fasciné par l'implication de la classe, l'énergie, les interventions, etc. Alors, il décide de le demander à sa collègue quel était son astuce et finalement il apprend une très sage leçon : pour que dans le cours ait harmonie, il doit fonctionner comme un orchestre.
Chapitre 8
Dans ce chapitre, Pennac nous parle d'une autre leçon qu'il a appris grâce à une autre collègue. Il s'agit de l'importance de faire l'appel matinal. Cette prof profite l'appel pour connecter avec ses enfants avant de commencer la journée. Moi comme Pennac, j'ai vraiment apprécié cette attitude parce qu’à mon point de vue, pour qu'une classe soit efficace, il doit avoir une bonne relation entre l'étudiant et son prof. À nos jours, la plupart de fois, il n'a pas de relation entre les deux et ça provoque que les enfants soient pas à l'aise. C'est pourquoi, quelques élèves préfèrent de pas participer à la classe parce qu'ils ont honte et parfois même peur.
Chapitre 9
Dans ce chapitre Daniel Pennac critique l'éducation reçue par sa génération. Dans son enfance le professeur était le capitan et avoir une opinion différente à lui c'était une faute de respect. Cette éducation primitive sans aucune interaction entre le prof et l'étudiant, provoque le retraitement des enfants et en conséquence, la chute de la motivation des enfants pour apprendre.