Chapitres 1 et 2

 


Chapitre 1


1.     Quelle est la réaction de V. lorsqu’il apprend que Daniel Pennac est en train d’écrire Chagrin d’école ?
2.     V. finit le chapitre avec l’expression : « j’étais comme un chiot, je courrais derrière ma truffe ». Qu’est-ce qu’il veut dire exactement ?


Chapitre 2

1.       Lorsqu’on prononce l’expression « tu le fais exprès », quels sont les sentiments qui se dégagent ?

2.       D’après vous, pourquoi la grammaire est-elle si importante chez Pennac ?

3.       D’après Pennac, dans l’expression « tu le fais exprès » à quoi fait- il référence le pronom complément « le » ? 

Commentaires

  1. La morale de cette première partie, nous montre qu'à chaque âge, chacun de nous traverssons une mauvaise fase, une période difficile. Sans le vouloir on se prend la tête, on manque de respect à nos aînés, on saute les classe et on s'intéresse plus à l'argent. Alors, certains qui n'arrivent pas à se controler, finit pas abandonner les études, puis avec le temps le regrette, masi il est déjà trop tard. Ce chapitre aimerais nous allerter sur notre attitude de maintenant, car sinon nous risquons de faire des bétises que nous regretterons après. De plus, les personnes qui se comporte ainsi ne le font pas exprès, alors notre entourage devrait le comprendre et essayer de nous calmer afin que nous ne regrettons pas plus tard. Car à un certains âge, comme par exemple la puberté, les adolescents cherchent à connaître qui ils sont et de fois ils finissent par emprunter la mauvaise direction si les parents ne les encandrent pas.
    Ne dites plus aux enfants " qu'ils le font exprès " parce que ce n'est pas vrai.


    Dans ce chapite2, On nous parle de la fameuse phrase "tu le fais exprès", qui est prononcée par presque tout le monde. Ce que veux nous dévoiler ce chapitre est, à force d'entendre cette phrase si désagréable, on finit par comettre la même bétise en le disant à nos enfants, et eux à leurs enfants et etcetéra. Alors moi je me demande en cette instant précis, est-ce qu'un jour, on réussirais à oublier cette phrase et à arrêter de le pronnoncer aux enfants? Car même-si un enfant fait une erreur, il ne le fait pas exprès, alors arrêtons de le culpabiliser encore plus parce qu'en comettant une faute, on se sent déjà mal avec soi même, on a pas besoin d'en rajouter en disant " est-ce que tu le fais exprès!".

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